By Claude Aubert, Philippe Bovet, Philippe Rekacewicz, Dominique Vidal
Réchauffement et dérèglements climatiques, montée des océans, désertification et déforestation, catastrophes écologiques, maladies environnementales : nul n'ignore plus que ces périls menacent l'avenir de l'Humanité. Mais quelles en sont les explanations ? Et y a-t-il des suggestions ? Reprenant le principe qui a fait le succès des précédents, L'Atlas de l'environnement examine, en forty two doubles pages, dont plus de a hundred cartes et graphiques, d'abord " ce qui risk l. a. planète ", ensuite " ce qui peut los angeles sauver ". Qu'est-ce que le scénario NégaWatt ? Quelles possible choices à los angeles voiture en ville ? Un " habitat vertueux ", est-ce attainable ? Par quoi los angeles Suède remplace-t-elle le pétrole ? Pourquoi contester le projet de ferroutage Lyon-Turin ? En quoi big apple est-elle pionnière pour l. a. safety de l'eau ? L'Inde et los angeles Chine expérimentent-elles des ideas écologiques ? Autour de Philippe Bovet, Philippe Rekacewicz, Agnès Sinaï et Dominique Vidal, trente spécialistes de l'écologie et trois géographes-cartographes ont uni leurs compétences pour vous proposer ce most advantageous Atlas de l'environnement.
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L’Iran a construit deux websites d’enrichissement, celui de Natanz, le plus very important, et celui de Fordow, enterré près de Qom pour le protéger de bombardements. Les Occidentaux réclament los angeles fermeture de Fordow, alors que les Iraniens proposent de le convertir en centre de recherche médicale. A Arak, l’Iran bâtit un réacteur de recherche à eau lourde, mais aurait settle foré de limiter sa construction de plutonium à moins d’un kilo par an. Autre element de litige, le régime d’inspection renforcé des installations nucléaires. Les Occidentaux demandent notamment à l’Iran de ratifier le protocole additionnel de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui permet des inspections plus intrusives. Ce protocole a été signalé par l’Iran en 2003, mais n’a pas été ratifié par le Parlement. Les Occidentaux exigent que ce régime d’exception soit de vingt ans, alors que l’Iran n’accepte qu’une durée de cinq ans. L’Iran réclame enfin une levée rapide de toutes les sanctions économiques qui le frappent depuis l’adoption de los angeles première résolution des international locations unies, en 2006. Les Etats-Unis et l’Union européenne ont également undertakeé des sanctions distinctes. Pour Washington, los angeles levée de certaines sanctions dépend du président, d’autres du Congrès, dominé par des républicains hostiles à toute entente avec Téhéran. Dans le cadre de l’accord intérimaire intervenu il y a un an, les Occidentaux ont procédé à une première levée partielle des sanctions, le 20 janvier 2014. A LAIN G RESH . Mohammad Reza Pahlavi était un homme ambitieux, qui voulait faire de son will pay une superpuissance régionale. Mais, pour atteindre cet objectif, il ne fallait pas seulement que l’Iran s’appuie sur une armée et une économie fortes ; il était aussi nécessaire que les grandes puissances se tiennent à l’écart du ProcheOrient. En 1971, le Royaume-Uni décida de retirer toutes ses forces militaires stationnées à l’est de Suez. Tant que les Etats-Unis et l. a. Russie ne cédaient pas à los angeles tentation d’occuper le vide laissé par les Britanniques, l’Iran pouvait espérer devenir l. a. superpuissance incontestée de l’Asie occidentale. Alors que les Américains étaient focalisés sur leur intervention au Vietnam, E le chah saisit une party en or. Un accord conclu avec l’administration du président Richard Nixon faisait de l’Iran et de l’Arabie saoudite les responsables de los angeles sécurité dans le golfe Arabo-Persique, en permettant aux Etats-Unis de demeurer à l’écart. Cette politique dite des « deux piliers » fut en réalité l. a. politique d’un seul pilier, l’Iran. Ayant atteint ce yet essentiel, Mohammad Reza Pahlavi eut pour prochain objectif de s’assurer que ni l’Union soviétique ni les Etats-Unis ne trouvent prétexte à stationner de nouveau des troupes dans le Golfe. Il considéra dès lors les Etats-Unis, et non los angeles seule Union soviétique, comme un rival et un concurrent potentiel. Une disagreement grandissante N PRIVÉ, des responsables américains déploraient au milieu des années 1970 que les pursuits du souverain iranien échappent désormais à tout contrôle.